Correction “Le Suraccident”

Demande du client :

Monsieur Hamon a fait appel à mes services de correctrice/relectrice pour son récit de vie « Le Suraccident ». Après une enfance pleine d’embuches et une vie très mouvementée, il perd son frère, son jumeau comme il aime l’appeler, subitement. Monsieur Hamon choisit l’écriture pour poser les mots et parvenir à tourner la page sur cette histoire, sans pour autant tirer un trait sur le passé.

Après une correction détaillée suivie d’une relecture et d’un peu de réécriture, nous nous sommes attelés à la mise en pages du récit. Une aventure qui se termine avec un livre en bonne et due forme, conforme à ses attentes.

Le livre est en vente à 15€ (me contacter pour plus d’informations).

Avis client :

Sarah Jaouen est une grande professionnelle à l’écoute de vos besoins. Malgré son jeune âge, son cursus et sa déjà longue expérience parlent pour elle. En ce qui me concerne, Sarah Jaouen a corrigé les fautes d’orthographes et de syntaxes de mes écrits. Elle a également réalisé la mise en page. J’ai véritablement eu plaisir à échanger avec elle tout au long du processus qui en finalité m’a amené à la sortie du livre : Le Suraccident. Je vous la conseille vivement. Toujours à l’écoute, vous ne serez pas déçu par son travail.

Yvan HAMON

Extrait du récit autobiographique « Le Suraccident »

Ce nouveau lotissement, quasi vierge de constructions, devenait notre nouveau royaume où les envahisseurs identifiés étaient les futurs propriétaires. Les parcelles étaient recouvertes de ronces de plus d’un mètre cinquante dans lesquelles, afin de rester furtifs, nous formions, à l’aide d’outils « empruntés » sur les chantiers, ces fameuses Galeries… Elles aboutissaient au pied d’un bosquet de châtaigniers où Fréderic Lescot (et son génie de la construction) avait, grâce à des poulies et des cordes, inventé un système pour monter dans les arbres. Plus haut, notre poste d’observation nous attendait. Il s’agissait d’une cabane confectionnée avec des morceaux de planches, dont nous étions persuadés qu’elles avaient été abandonnées par les ouvriers.

Au fur et à mesure des constructions qui poussaient comme des champignons, nous étions les témoins malgré nous de l’inéluctable érosion de « nos terres » et de la destruction de nos chères Galeries ! La contrepartie, c’était que de nouveaux camarades pointaient leurs trombines. Jacky commençait à être moins timide et devenait même un peu taquin. Du coup, il avait souvent le rôle d’éclaireur, avec la mission d’établir la première prise de contact.

Vous avez un projet, parlons-en !

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